Construction initiale 1825 (≈ 1825)
Construction sous le nom de « passage Montmartre ».
1842
Changement de nom
Changement de nom 1842 (≈ 1842)
Le passage prend le nom de « cité Bergère ».
1876–1923
Siège de journaux
Siège de journaux 1876–1923 (≈ 1900)
Le numéro 1 accueille l’administration de journaux satiriques.
Aujourd'hui
Aujourd'hui
Aujourd'hui Aujourd'hui (≈ 2025)
Position de référence.
Patrimoine classé
Ensemble des façades et toitures, y compris les façades en retour sur les rues Bergère et du Faubourg-Montmartre ; sols ; les deux passages d'accès avec leurs grilles (cad. AV 9 à 12, 14 à 20, 42 à 45) : inscription par arrêté du 9 octobre 1990
Personnages clés
Jean Bergier
Maître teinturier à qui l’Hôtel-Dieu avait donné à bail une terre.
Saoud l'Oranais
Violoniste et compositeur de musique arabe-andalouse, domicilié au numéro 12.
Origine et histoire de la Cité Bergère
La cité Bergère est une voie du 9e arrondissement de Paris. Elle commence au 6, rue du Faubourg-Montmartre et se termine au 23, rue Bergère. À son extrémité côté rue du Faubourg-Montmartre se trouve une ruelle ; du côté de la rue Bergère on relève une autre ruelle et une entrée, et on y distingue également le porche Art nouveau d’un hôtel. Elle porte le nom de Jean Bergier, maître teinturier, à qui l’Hôtel-Dieu avait donné à bail une terre de labour sur le grand chemin de Montmartre. Construite en 1825 sous le nom de « passage Montmartre », elle prend sa dénomination actuelle en 1842. Le numéro 1 a accueilli l’administration de deux journaux satiriques illustrés, Le Petit Caporal (1876–1923) et Le Droit du peuple illustré (1879–1881). Le numéro 12 fut en 1938 le domicile de Saoud l'Oranais, violoniste et compositeur de musique arabe-andalouse.