Dolmen de Charcé à Charcé-Saint-Ellier-sur-Aubance en Maine-et-Loire

Patrimoine classé Patrimoine Celtique Dolmens

Dolmen de Charcé à Charcé-Saint-Ellier-sur-Aubance

  • Le Perrin
  • 49320 Charcé-Saint-Ellier-sur-Aubance
Dolmen de Charcé à Charcé-Saint-Ellier-sur-Aubance
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Dolmen de Charcé à Charcé-Saint-Ellier-sur-Aubance
Dolmen de Charcé à Charcé-Saint-Ellier-sur-Aubance
Crédit photo : Kormin - Sous licence Creative Commons
Propriété privée

Frise chronologique

Néolithique
Âge du Bronze
Âge du Fer
Antiquité
Haut Moyen Âge
Moyen Âge central
Bas Moyen Âge
Renaissance
Temps modernes
Révolution/Empire
XIXe siècle
Époque contemporaine
4100 av. J.-C.
4000 av. J.-C.
0
1800
1900
2000
Néolithique
Construction du dolmen
1889
Classement historique
Aujourd'hui
Aujourd'hui

Patrimoine classé

Cromlech (cad. B 301) : classement par liste de 1889

Personnages clés

Godard Faultrier Interprète l'ensemble comme un cromlech entourant le dolmen.
Célestin Port Émet l'hypothèse de débris d'un second peulvan ou d'un dolmen détruit.
Michel Gruet Auteur ayant documenté le dolmen dans son ouvrage Mégalithes en Anjou.

Origine et histoire du dolmen de Charcé

Le dolmen dit « pierre couverte de Beaupreau » se trouve à Charcé-Saint-Ellier-sur-Aubance, dans le Maine-et-Loire. L'édifice est classé au titre des monuments historiques en 1889. La chambre sépulcrale est précédée d'un portique aujourd'hui écroulé, dont la dalle de couverture est en grande partie enterrée. La table de couverture recouvre la chambre principale, longue de 3 m et large de 2,30 m, ainsi qu'une petite chambre ouvrant au sud-est ; ces deux espaces sont séparés par un court couloir transversal. Sur la face intérieure de la table figurent des cupules d'origine naturelle et une quarantaine de stries réparties en neuf groupes ; ces stries sont décrites comme artificielles, parallèles, verticales et polies, et sont analogues en plus petit à celles du dolmen de l'Étiau. Toutes les dalles du monument sont en grès éocène. Le dolmen a été réutilisé comme abri pour des engins agricoles et le sol de la chambre a été creusé, mais deux courtes lames en silex et une hache polie ont néanmoins été recueillies. L'édifice se situe à environ vingt mètres de la Pierre Levée de Beaupreau. Bibliographie principale : Michel Gruet, Mégalithes en Anjou, p. 59-61.

Liens externes