Dolmen de Garde-Épée à Saint-Brice en Charente

Patrimoine classé Patrimoine Celtique Dolmens

Dolmen de Garde-Épée à Saint-Brice

  • 31 Route du Dolmen
  • 16100 Saint-Brice
Dolmen de Garde-Épée à Saint-Brice
Dolmen de Garde-Épée à Saint-Brice
Dolmen de Garde-Épée à Saint-Brice
Dolmen de Garde-Épée à Saint-Brice
Dolmen de Garde-Épée à Saint-Brice
Dolmen de Garde-Épée à Saint-Brice
Crédit photo : Jack ma - Sous licence Creative Commons
Propriété privée

Frise chronologique

Néolithique
XIXe siècle
Époque contemporaine
4100 av. J.-C.
4000 av. J.-C.
2800 av. J.-C.
1900
2000
Néolithique
Construction du dolmen
Fin du Néolithique
Construction du dolmen
22 décembre 1926
Classement historique
Aujourd'hui
Aujourd'hui

Patrimoine classé

Dolmen dit de Garde Epée (cad. B 413) : classement par arrêté du 22 décembre 1926

Personnages clés

Philippe Delamain Propriétaire ayant légué le dolmen à la Société archéologique et historique de la Charente.

Origine et histoire du dolmen de Garde-Épée

Le dolmen dit de Garde-Épée se trouve sur la commune de Saint-Brice, en Charente. Il est classé monument historique par arrêté du 22 décembre 1926 et appartient à la Société archéologique et historique de la Charente, par legs de Philippe Delamain. L’édifice est construit en dalles de grès gris, roche provenant du substratum de la colline basse où il se dresse, caractéristique géologique exceptionnelle pour la région. La chambre rectangulaire, délimitée par cinq orthostates d’environ 2,20 m de hauteur, mesure 5 m de long sur 2,50 m de large et s’ouvre au sud‑ouest. La couverture est composée de deux tables; la plus grande, couvrant les deux tiers de l’ensemble, mesure 6 m sur 3 m. Sur d’anciennes photographies, les deux orthostates nord apparaissent reliés par un muret en pierres sèches, aménagement qui pourrait être postérieur en raison de l’utilisation du dolmen comme abri ou grange. Deux haches polies et des ossements auraient été découverts dans le monument. À environ 100 m au sud‑ouest, sur le point culminant d’une colline, un rocher naturel de même nature, dit Rocher de la Vache, a été qualifié à tort de dolmen.

Liens externes