Création des vitraux 1960 (≈ 1960)
Réalisés par le verrier Raymond Clercq-Roques.
1959-1962
Construction de l'église
Construction de l'église 1959-1962 (≈ 1961)
Période de construction de l'église par les architectes Gérard Sacquin et Georges Mas.
3 juin 2005
Inscription monument historique
Inscription monument historique 3 juin 2005 (≈ 2005)
L'édifice a été inscrit au titre des monuments historiques.
2012
Retravail du chemin de croix
Retravail du chemin de croix 2012 (≈ 2012)
Casimir Ferrer retravaille le chemin de croix en quatorze tableaux.
Aujourd'hui
Aujourd'hui
Aujourd'hui Aujourd'hui (≈ 2025)
Position de référence.
Patrimoine classé
L'église en totalité et la parcelle qui la porte (cad. BC 267) : inscription par arrêté du 3 juin 2005
Personnages clés
Gérard Sacquin
Architecte ayant conçu l'église.
Georges Mas
Architecte ayant conçu l'église.
Raymond Clercq-Roques
Verrier ayant réalisé les vitraux de l'église.
Casimir Ferrer
Artiste ayant retravaillé le chemin de croix en 2012.
Origine et histoire de l'Église Notre-Dame du Breuil
L'église Notre-Dame du Breuil, église catholique située à Albi dans le Tarn, a été construite de 1959 à 1962 par les architectes Gérard Sacquin et Georges Mas pour répondre aux besoins des paroissiens des nouveaux quartiers du Breuil et du Mazicou. De plan centré, l'édifice évoque par sa masse et son aspect fortifié la cathédrale Sainte-Cécile d'Albi. Sa structure est en béton armé, son parement en brique, et l'élévation se caractérise par des alternances de plans concaves et convexes. À l'intérieur, le béton est laissé brut de décoffrage et la voûte, elle aussi en béton, adopte la forme d'une étoile rayonnante. Les vitraux ont été réalisés par le verrier Raymond Clercq-Roques en 1960. L'édifice a été inscrit au titre des monuments historiques le 3 juin 2005. Pour le cinquantenaire de l'église, en 2012, l'artiste Casimir Ferrer a retravaillé le chemin de croix en quatorze tableaux en privilégiant le Concrétisme, technique mêlant peinture et sculpture. Des ressources en ligne, telles que Clochers de France, l'Observatoire du patrimoine religieux et les bases Mérimée et PSS, documentent cet édifice.