Église Saint-André de Tarerach dans les Pyrénées-Orientales

Patrimoine classé Patrimoine religieux Eglise Clocher-mur

Église Saint-André de Tarerach

  • 1 Rue de l'Église
  • 66320 Tarerach
Église Saint-André de Tarerach
Église Saint-André de Tarerach
Église Saint-André de Tarerach
Église Saint-André de Tarerach
Église Saint-André de Tarerach
Église Saint-André de Tarerach
Église Saint-André de Tarerach
Église Saint-André de Tarerach
Église Saint-André de Tarerach
Crédit photo : Meria z Geoian - Sous licence Creative Commons
Propriété de la commune

Frise chronologique

Moyen Âge central
Bas Moyen Âge
Renaissance
Temps modernes
Révolution/Empire
XIXe siècle
Époque contemporaine
1000
1100
1200
1300
1900
2000
Xe siècle
Rattachement à Cuxa
XIIe siècle
Construction romane
1972
Inscription monument historique
Aujourd'hui
Aujourd'hui

Patrimoine classé

Fenêtre décorée sur le côté Sud de la nef (cad. A 117) : inscription par arrêté du 23 octobre 1972

Origine et histoire de l'Église Saint-André

L'église Saint-André de Tarerach (catalan : Santa Andreu de Tarerac) est une église romane située à Tarerach, dans les Pyrénées-Orientales. Elle relevait, depuis le Xe siècle, de l'abbaye Saint-Michel de Cuxa. C'est un petit édifice à nef unique qui se termine par un chœur plus étroit, voûté en berceau comme la nef, et une abside demi-circulaire côté intérieur. À l'extérieur, la construction présente un plan rectangulaire et le sanctuaire, demi-circulaire à l'intérieur, est plat à l'extérieur. Une chapelle latérale située au nord de la nef est voûtée d'un berceau transversal. Parmi les baies, seules celles du mur méridional n'ont pas été remaniées. La fenêtre de la nef, sur ce mur sud, est ornée de sculptures : ses colonnettes portent des chapiteaux dont les faces planes sont sculptées de feuillages encadrés en champlevé. L'arc en plein cintre qui la surmonte est décoré de trois petits boudins et de motifs végétaux. De part et d'autre des montants, au niveau des chapiteaux, deux pierres symétriques sont sculptées de rosaces — dans l'imposte droite on distingue une rosace à quatre pétales et une à huit pétales, tandis que seule une rosace subsiste dans l'imposte gauche. La fenêtre décorée du côté sud de la nef a été inscrite au titre des monuments historiques en 1972.

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