Église Saint-Blaise de Lavergne dans le Lot

Patrimoine classé Patrimoine religieux Eglise gothique Clocher-mur

Église Saint-Blaise de Lavergne

  • 46500 Lavergne
Église Saint-Blaise de Lavergne
Église Saint-Blaise de Lavergne
Église Saint-Blaise de Lavergne
Église Saint-Blaise de Lavergne
Crédit photo : Pymouss - Sous licence Creative Commons
Propriété de la commune

Frise chronologique

Moyen Âge central
Bas Moyen Âge
Renaissance
Temps modernes
Révolution/Empire
XIXe siècle
Époque contemporaine
1200
1300
1400
1500
1600
1700
1800
1900
2000
XIIe siècle
Construction initiale
1314
Premier prieur attesté
XIIIe siècle
Ajout des chapelles
XVIe siècle
Dépendance à l'abbaye de La Couronne
XVIIe siècle
Rattachement à La Couronne
9 juin 1925
Inscription monument historique
Aujourd'hui
Aujourd'hui

Patrimoine classé

Façade occidentale : inscription par arrêté du 9 juin 1925

Personnages clés

Edmond Albe Chanoine ayant étudié l'histoire de l'église.
Nicolas Bru Auteur d'un ouvrage sur les églises du Moyen Âge dans le Lot.

Origine et histoire de l'Église Saint-Blaise

L'église Saint-Blaise de Lavergne, située dans la commune de Lavergne dans le Lot, conserve du bâtiment roman uniquement le chœur et le portail d'entrée. Les chapelles et les voûtes sont d'époque plus récente ; les voûtes de la nef ont été refaites en briques. Selon le chanoine Edmond Albe, l'église dépendait du prieuré conventuel Saint-Robert de Védrenne à Égletons, lui-même rattaché à l'abbaye de la Chaise-Dieu, puis, au XVIIe siècle, à l'abbaye de La Couronne et aux chanoines réguliers de Saint-Augustin de Cahors. La mention de « sol du cloître » dans des documents laisse supposer qu'il s'agissait bien d'un prieuré conventuel. Des prieurs sont attestés à partir de 1314. L'édifice a été inscrit au titre des monuments historiques le 9 juin 1925. Plusieurs objets provenant de l'église sont référencés dans la base Palissy. Pour plus d'informations, consulter notamment l'ouvrage dirigé par Nicolas Bru, Archives de pierre. Les églises du Moyen Âge dans le Lot (p. 224-225).

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