Don à l'abbaye 1078-1099 (≈ 1089)
Raoul, seigneur de Civry, offre l'église à l'abbaye Notre-Dame de Coulombs.
XIe siècle
Première attestation
Première attestation XIe siècle (≈ 1150)
Une église est attestée sur ce site au XIe siècle.
XVe siècle
Parties les plus anciennes
Parties les plus anciennes XVe siècle (≈ 1550)
Les parties les plus anciennes de l'église datent du XVe siècle.
1825
Chapelle vicariale
Chapelle vicariale 1825 (≈ 1825)
L'édifice est érigé en chapelle vicariale.
XVIIIe siècle
Construction du clocher
Construction du clocher XVIIIe siècle (≈ 1850)
Le clocher, bâti sur une structure en bois, appartient au XVIIIe siècle.
6 mars 1950
Inscription monument historique
Inscription monument historique 6 mars 1950 (≈ 1950)
L'église Saint-Hilaire est inscrite au titre des monuments historiques.
Aujourd'hui
Aujourd'hui
Aujourd'hui Aujourd'hui (≈ 2025)
Position de référence.
Patrimoine classé
Eglise : inscription par arrêté du 6 mars 1950
Personnages clés
Raoul de Civry
Seigneur de Civry ayant offert l'église à l'abbaye Notre-Dame de Coulombs.
Origine et histoire de l'Église Saint-Hilaire
L'église Saint-Hilaire, édifice catholique situé à Boissets (Yvelines), est inscrite au titre des monuments historiques par arrêté du 6 mars 1950. Une église est attestée sur ce site au XIe siècle. Entre 1078 et 1099, Raoul, seigneur de Civry, offre l'église à l'abbaye Notre-Dame de Coulombs, qui partagera la dîme de Boissets avec le prieuré de Haute-Bruyère jusqu'à la Révolution. L'édifice est érigé en chapelle vicariale en 1825. Les parties les plus anciennes datent du XVe siècle, tandis que le clocher, bâti sur une structure en bois, appartient au XVIIIe siècle. Orientée au nord-est, l'église suit un plan longitudinal et se compose d'une nef unique qui se termine par un chevet plat flanqué d'un petit corps de logis de plan quadrangulaire. Un clocher quadrangulaire coiffe la nef. La façade principale, percée d'une porte en anse de panier, est renforcée par deux contreforts à ressauts ; les façades latérales s'ouvrent par des baies en plein cintre et sont également épaulées de contreforts. L'édifice est couvert d'un toit à longs pans. Le mobilier comprend une statue identifiée comme sainte Clotilde ou saint Odon, répertoriée dans Mérimée (référence PA00087374).