Église Saint-Hilaire de Nonac en Charente

Patrimoine classé Patrimoine religieux Eglise romane

Église Saint-Hilaire de Nonac

  • Le Bourg
  • 16190 Nonac
Église Saint-Hilaire de Nonac
Église Saint-Hilaire de Nonac
Église Saint-Hilaire de Nonac
Église Saint-Hilaire de Nonac
Église Saint-Hilaire de Nonac
Église Saint-Hilaire de Nonac
Église Saint-Hilaire de Nonac
Église Saint-Hilaire de Nonac
Église Saint-Hilaire de Nonac
Église Saint-Hilaire de Nonac
Église Saint-Hilaire de Nonac
Église Saint-Hilaire de Nonac
Église Saint-Hilaire de Nonac
Église Saint-Hilaire de Nonac
Église Saint-Hilaire de Nonac
Église Saint-Hilaire de Nonac
Église Saint-Hilaire de Nonac
Église Saint-Hilaire de Nonac
Église Saint-Hilaire de Nonac
Église Saint-Hilaire de Nonac
Église Saint-Hilaire de Nonac
Église Saint-Hilaire de Nonac
Église Saint-Hilaire de Nonac
Église Saint-Hilaire de Nonac
Crédit photo : Jack ma - Sous licence Creative Commons
Propriété de la commune

Période

XIIe siècle

Patrimoine classé

Eglise Saint-Hilaire : classement par arrêté du 4 septembre 1913

Origine et histoire de l'Église Saint-Hilaire

L'église Saint-Hilaire, située à Nonac dans le département de la Charente, est un édifice roman du XIIe siècle. La nef est voûtée en berceau et flanquée d'arcs doubleaux reposant sur des colonnes à chapiteaux sculptés dont les bases ne sont plus visibles, le sol ayant été exhaussé. Des traces de fresques subsistent sur les murs, les chapiteaux et les arcs des fenêtres. Quatre gros piliers, formés de colonnes à chapiteaux sculptés, soutiennent au centre une coupole en plein cintre sur laquelle repose le clocher, de construction plus récente. L'abside et les deux absidioles du transept sont voûtées en cul-de-four. Au centre de la nef, un escalier conduit à une petite crypte dont le fond a conservé des fresques. Toute la partie supérieure de l'église a été refaite à la fin du XIXe siècle : les voûtes ont été remontées en briques puis plâtrées. L'édifice est classé au titre des monuments historiques en 1913. La cloche en bronze, nommée Jésus Maria, date de 1641 et pèse 640 kilos ; elle a fait l'objet d'une restauration en 2013 par les campanistes Bodet. Sa repose a eu lieu le 12 décembre 2013 en présence notamment du père Fèvre, qui l'a bénie, et de la maire de la commune, Martine Gallais.

Liens externes