Église Saint-Pantaléon de Saint-Pantaléon-de-Larche en Corrèze

Patrimoine classé Patrimoine religieux Caquetoire Eglise romane et gothique

Église Saint-Pantaléon de Saint-Pantaléon-de-Larche

  • Le Bourg
  • 19600 Saint-Pantaléon-de-Larche
Église Saint-Pantaléon de Saint-Pantaléon-de-Larche
Église Saint-Pantaléon de Saint-Pantaléon-de-Larche
Église Saint-Pantaléon de Saint-Pantaléon-de-Larche
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Église Saint-Pantaléon de Saint-Pantaléon-de-Larche
Église Saint-Pantaléon de Saint-Pantaléon-de-Larche
Crédit photo : Père Igor - Sous licence Creative Commons
Propriété de la commune

Période

XIIe siècle, XIVe siècle, XVe siècle

Patrimoine classé

Eglise (cad. E 352) : inscription par arrêté du 10 octobre 1963

Origine et histoire de l'Église Saint-Pantaléon

L'église Saint-Pantaléon, située place du Général Couloumy à Saint-Pantaléon-de-Larche (Corrèze), est un édifice en pierre rouge. Son état actuel date du XVe siècle et succède probablement à un bâtiment de forme romane dont subsiste une trace sur la corniche à l'entrée nord du sanctuaire. Le plan est en croix latine, avec un sanctuaire à fond plat. La nef est voûtée par trois travées d'ogives et les deux chapelles latérales, de dimensions inégales, forment les bras du transept ; la chapelle de droite est dédiée à saint Joseph et celle de gauche à la Vierge Marie. L'église présente un clocher-peigne à quatre ouvertures qui abrite deux cloches. Le portail date du XVe siècle et un porche couvert a été ajouté sur la façade. Les chapiteaux sont à décor géométrique, parfois accompagnés de deux ou trois figures géométriques. L'édifice est inscrit au titre des monuments historiques depuis 1963. Parmi les desservants connus figurent, avant la Révolution, Eble (1285, qualifié « chapelain » avec doute), Pierre Lasteyrie remplacé par Jean de Ayrea au milieu du XIVe siècle, puis Aymar de Tralagleyge (1587), Vincent Dumas (1601), Jacques Lafon (1625), Martin Durand (1644), Hugues de Lescot (avant 1730) et Pierre, Jean et Antoine Lapeyrie (1733–1800 ?). Au XIXe siècle se succèdent Vielbans de Grammont (1800), Pierre Forsse (1803), N. Treille (1831), François Bernardie (1835), Joseph Mazeau (1871), Joseph Boutot (1882) et Henri Chauvet (1887). Au XXe siècle, Emile Hugonie est mentionné en 1903.

Liens externes