Église Saint-Symphorien d'Usson-en-Forez dans la Loire

Patrimoine classé Patrimoine religieux Eglise gothique

Église Saint-Symphorien d'Usson-en-Forez

  • Le Bourg Place de l'Église 
  • 42550 Usson-en-Forez
Église Saint-Symphorien dUsson-en-Forez
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Église Saint-Symphorien dUsson-en-Forez
Crédit photo : Thomas Hummel - Sous licence Creative Commons
Propriété de la commune

Frise chronologique

Renaissance
Temps modernes
Révolution/Empire
XIXe siècle
Époque contemporaine
1600
1700
1800
1900
2000
1601
Achèvement de l'ensemble
XVIe siècle
Reconstruction majeure
XVIIe siècle
Surélevation du clocher
XIXe siècle
Agrandissement de l'église
Aujourd'hui
Aujourd'hui

Patrimoine classé

Eglise (cad. AD 76) : inscription par arrêté du 19 mars 1982

Personnages clés

Paul François Rochette Curé pour qui la chapelle sud du chœur a été édifiée en 1731.
Claude Dumas Curé ayant entrepris des travaux d'agrandissement au XIXe siècle.
Auguste Eugène Jeandeaux Architecte ayant surélevé les murs extérieurs et mis en place une nouvelle toiture entre 1891 et 1893.
Gabriel Convert Curé sous qui l'enduit intérieur a été supprimé entre 1960 et 1971.

Origine et histoire de l'Église Saint-Symphorien

Ancienne église Saint-Barthélemy, sanctuaire principal d'Usson, elle a pris le nom de Saint-Symphorien après la destruction d'une autre église dédiée à ce vocable. L'abbaye de la Chaise-Dieu en avait le patronage. Du XIIe siècle subsistent l'élévation de la troisième travée de la nef et un décor remployé dans la première travée. La nef, le porche, les chapelles latérales et le clocher ont été reconstruits au XVe ou au début du XVIe siècle ; le chœur porte la date de 1557 sur un contrefort. Une inscription de 1601, placée sur l'ancienne porte d'accès au clocher, atteste l'achèvement de cet ensemble. En 1731, pour le curé Paul François Rochette, est édifiée la chapelle sud du chœur avec des remplois de décor ; la chapelle nord date de 1734, son portail étant daté. La sacristie sud est datée de 1731, la sacristie nord de 1733, cette dernière reliée à l'autre par un couloir derrière l'abside ; la chapelle sud porte les armes et le buste du curé, et les sacristies portent une date et une inscription. Au XVIIIe siècle, le clocher est surélevé d'un étage et reçoit une flèche. Des travaux d'agrandissement sont entrepris au XIXe siècle pour le curé Claude Dumas (1827-1875) : en 1833 des collatéraux sont élevés à l'emplacement des anciennes chapelles de la nef par l'architecte départemental Haour. En 1837, un don spécial permet d'allonger la nef au détriment du porche, le portail ayant été remployé, et de construire une troisième sacristie dite "des hommes" en pendant du clocher, laquelle porte la date et le nom du maçon Rivalier. En 1858 est projeté le recul de l'abside d'une travée en remployant les mêmes matériaux ; les travaux sont en cours en 1860. Entre 1891 et 1893, les murs extérieurs sont surélevés et une nouvelle toiture est mise en place par l'architecte Auguste Eugène Jeandeaux, de Saint-Étienne. L'enduit intérieur a été supprimé sous le curé Gabriel Convert entre 1960 et 1971.

Liens externes