Origine romane XIIe siècle (≈ 1250)
Construction initiale de l'église sous forme de chapelle romane.
XIVe siècle
Ajout des chapelles latérales
Ajout des chapelles latérales XIVe siècle (≈ 1450)
Agrandissement de l'église avec l'ajout de chapelles latérales.
XVe siècle
Construction de l'abside
Construction de l'abside XVe siècle (≈ 1550)
Édification de l'abside à chevet plat.
XVIe siècle
Achèvement de la nef
Achèvement de la nef XVIe siècle (≈ 1650)
Finalisation de la construction de la grande nef.
1862-1863
Percement des murs
Percement des murs 1862-1863 (≈ 1863)
Percement des murs de séparation des chapelles latérales pour former des bas-côtés.
1869-1870
Restauration de la façade
Restauration de la façade 1869-1870 (≈ 1870)
Rebâtissage de la façade endommagée pendant la Révolution française.
1er avril 1938
Inscription monument historique
Inscription monument historique 1er avril 1938 (≈ 1938)
L'église est inscrite au titre des monuments historiques.
Aujourd'hui
Aujourd'hui
Aujourd'hui Aujourd'hui (≈ 2025)
Position de référence.
Patrimoine classé
Tour du clocher ; croisée du transept : inscription par arrêté du 1er avril 1938
Personnages clés
Pierre de Truchis
Auteur d'une étude approfondie sur l'histoire et l'architecture de l'édifice.
Origine et histoire de l'Église Sainte-Marie-Madeleine
L'église Sainte-Marie-Madeleine, située à Saint-Sorlin-en-Bugey (Ain, Auvergne-Rhône-Alpes), est inscrite au titre des monuments historiques depuis le 1er avril 1938. D'origine romane, elle était à l'origine une chapelle unique puis a été agrandie et remaniée au fil des siècles dans un style gothique primitif. Les chapelles latérales datent du XIVe siècle, l'abside à chevet plat du XVe siècle et la grande nef a été achevée au XVIe siècle. En 1862-1863, les murs de séparation des chapelles latérales ont été percés pour former des bas-côtés. La façade, munie d'un pignon et d'un clocheton en pierre, endommagée pendant la Révolution française, a été rebâtie dans les années 1869-1870. Des ressources documentaires et iconographiques, ainsi qu'une étude de Pierre de Truchis, permettent d'approfondir l'histoire et l'architecture de l'édifice.