Création du bas-relief Fin du XVe siècle - Début du XVIe siècle (≈ 1595)
Période estimée de la création du bas-relief en raison des armes héraldiques associant la France et la Bretagne.
XVIe siècle
Existence du logis Saint-Georges
Existence du logis Saint-Georges XVIe siècle (≈ 1650)
Un logis Saint-Georges existait à Nîmes à cette période, pouvant être lié au bas-relief.
Aujourd'hui
Aujourd'hui
Aujourd'hui Aujourd'hui (≈ 2025)
Position de référence.
Patrimoine classé
Bas-relief sculpté représentant Saint-Georges, situé au-dessus de la porte d'entrée (cad. J 196p, 197p) : inscription par arrêté du 19 mars 1964
Origine et histoire de la Maison, Rue de la Curaterie
L'origine du bas-relief est inconnue, mais il pourrait avoir servi d'enseigne à une hostellerie dédiée à Saint-Georges. Il existait à Nîmes au XVIe siècle un logis Saint-Georges dont l'emplacement reste inconnu. Le bas-relief porte deux écus : l'un aux armes de France, l'autre parti, associant les fleurs-de-lys de France et l'hermine de Bretagne. Cette combinaison héraldique permettrait de le dater des dernières années du XVe ou du début du XVIe siècle. La sculpture, placée au-dessus de la porte d'entrée, est encadrée par un rectangle câblé. Elle représente un chevalier en armure, monté sur son cheval, qui enfonce sa lance dans la gueule d'un dragon ; à droite, sur un entassement de rochers, un personnage prie, les yeux tournés vers le ciel. La scène est complétée par deux écus en accolade.