Acquisition par Lalande 1725 (≈ 1725)
La famille Lalande acquiert la propriété avec un corps de logis et un pressoir à huile.
XVIIe siècle
Vestiges du logis
Vestiges du logis XVIIe siècle (≈ 1750)
Subsistent une partie du logis, le hall d'entrée, son dallage et la cheminée de la cuisine.
1791
Acquisition de la chapelle
Acquisition de la chapelle 1791 (≈ 1791)
La famille Lalande achète la chapelle Saint-Libéral, vendue comme bien national.
XIXe siècle
Refonte de l'escalier
Refonte de l'escalier XIXe siècle (≈ 1865)
L'escalier est refait et l'ancienne dépendance transformée en maison d'habitation.
Seconde moitié du XVIIIe siècle
Rénovation du logis
Rénovation du logis Seconde moitié du XVIIIe siècle (≈ 1875)
Le logis est remanié, probablement par Antoine Lalande, avec une nouvelle façade et des espaces intérieurs réaménagés.
1876
Cession de la chapelle
Cession de la chapelle 1876 (≈ 1876)
La famille Lalande cède la chapelle Saint-Libéral au diocèse.
Aujourd'hui
Aujourd'hui
Aujourd'hui Aujourd'hui (≈ 2025)
Position de référence.
Patrimoine classé
Façade ornée de balcons : inscription par arrêté du 27 juillet 1932
Personnages clés
Antoine Lalande
Membre de la famille Lalande ayant remanié le logis dans la seconde moitié du XVIIIe siècle.
Origine et histoire de la Maison Lalande
Acquise en 1725 par la famille Lalande, la propriété comprenait alors un corps de logis sur rue et, sur cour, un bâtiment adossé aux remparts qui abritait un pressoir à huile dont les vestiges ont été déposés. Du XVIIe siècle subsistent, côté cour intérieure, une partie du logis — probablement la structure du hall d'entrée et son dallage — ainsi que la cheminée de la cuisine. Le logis a été remanié dans la seconde moitié du XVIIIe siècle, vraisemblablement par Antoine Lalande, dont les initiales entrelacées ornent l'une des ferronneries de l'avant-corps de la façade sur rue. Cette nouvelle façade a été plaquée sur le fonds ancien et les espaces intérieurs réaménagés. L'escalier a été refait au XIXe siècle. Vers 1850, l'ancienne dépendance sur cour a été transformée en maison d'habitation; la démolition des remparts lui a procuré deux façades éclairées et un petit jardin privatif fermé par une grille, côté boulevard. La famille Lalande acheta la chapelle Saint-Libéral, vendue comme bien national en 1791, puis la céda au diocèse en 1876. L'état actuel de la documentation ne permet pas de préciser si les dépendances à usage de remises (parcelles 121 et 122), qui jouxtent la chapelle au nord, ont été construites par cette même famille qui en eut longtemps la possession.