Reconstruction de la maison 1582 (≈ 1582)
La maison est reconstruite sur l'emplacement de la demeure familiale de François de Malherbe.
1er juin 1927
Inscription monument historique
Inscription monument historique 1er juin 1927 (≈ 1927)
La façade sur la place Malherbe est inscrite au titre des Monuments historiques.
1994
Restauration du bâtiment
Restauration du bâtiment 1994 (≈ 1994)
Une campagne de restauration est engagée pour sauver le bâtiment en péril.
Aujourd'hui
Aujourd'hui
Aujourd'hui Aujourd'hui (≈ 2025)
Position de référence.
Patrimoine classé
Façade sur la place : inscription par arrêté du 1er juin 1927
Personnages clés
François de Malherbe
Poète né dans la maison familiale située à cet emplacement.
Origine et histoire de la Maison natale de Malherbe
La maison dite maison natale de Malherbe se trouve dans le centre ancien de Caen, place Malherbe, à l'angle de la rue Vauquelin. Reconstruite en 1582 sur l'emplacement de la demeure familiale de François de Malherbe, elle date de la fin du XVIe siècle et sa façade sur la place Malherbe est inscrite au titre des Monuments historiques depuis le 1er juin 1927. François de Malherbe est né vers 1555 dans la maison familiale située alors place Belle-Croix, à l'angle des rues Saint-Étienne et de l'Odon, aujourd'hui rues Saint-Pierre et Vauquelin. Au cours des années 1830 ou 1840, le propriétaire fit disparaître les deux lucarnes qui ornaient le toit. À la fin du XXe siècle, l'état du bâtiment se dégradait et, en 1994, un arrêté de péril fut pris en raison du danger présenté par les cheminées. Une campagne de restauration fut engagée : les enduits de la façade furent refaits en 1996, les lucarnes recréées en 1998 d'après des dessins et des blocs d'origine entreposés dans l'église Saint-Étienne-le-Vieux, et les éléments sculptés furent peints en 1999. Sur la partie élevée des deux lucarnes se placent des cartouches portant des inscriptions latines : à gauche « FRANCISCVS MALHERBVS HASCE. ÆDES EXTRVI. CVRAVIT. 1582 » et à droite « CIVITATIS ORNAMENTO LARIVMQVE. AVITORVM MEMORIÆ. ».