Musée de la Batellerie à Conflans-Sainte-Honorine dans les Yvelines

Musée de la Batellerie

  • 78700 Conflans-Sainte-Honorine
Musée de la Batellerie
Musée de la Batellerie
Musée de la Batellerie
Musée de la Batellerie
Musée de la Batellerie
Musée de la Batellerie
Musée de la Batellerie
Musée de la Batellerie
Musée de la Batellerie
Musée de la Batellerie
Musée de la Batellerie
Musée de la Batellerie
Musée de la Batellerie
Musée de la Batellerie
Musée de la Batellerie
Musée de la Batellerie
Musée de la Batellerie
Musée de la Batellerie
Musée de la Batellerie
Musée de la Batellerie
Musée de la Batellerie
Musée de la Batellerie
Musée de la Batellerie
Musée de la Batellerie
Musée de la Batellerie
Musée de la Batellerie
Musée de la Batellerie
Musée de la Batellerie
Musée de la Batellerie
Musée de la Batellerie
Musée de la Batellerie
Musée de la Batellerie
Musée de la Batellerie
Musée de la Batellerie
Musée de la Batellerie
Musée de la Batellerie
Musée de la Batellerie
Musée de la Batellerie
Musée de la Batellerie
Musée de la Batellerie
Musée de la Batellerie
Musée de la Batellerie
Musée de la Batellerie
Musée de la Batellerie
Musée de la Batellerie
Musée de la Batellerie
Musée de la Batellerie
Musée de la Batellerie
Musée de la Batellerie
Musée de la Batellerie
Crédit photo : Nitot - Sous licence Creative Commons

Origine et histoire

Les collections du Musée de la Batellerie de Conflans-Sainte-Honorine ont été constituées dès 1967. Plusieurs facteurs ont favorisé leur développement : la notoriété des travaux du conservateur François Beaudouin, le réseau animé par l’Association des Amis du Musée, la diffusion des Cahiers du Musée, la proximité de Paris et des antiquaires spécialisés, ainsi que des relations avec l’Office National de la Navigation et les compagnies de navigation de la région parisienne. Le musée a longtemps concentré l’essentiel de son budget sur les acquisitions, au détriment des expositions temporaires et de la modernisation muséographique, suivant la volonté de F. Beaudouin de « préserver l’avenir ». Les dons, nombreux après l’exposition préfigurative de 1966, et les dépôts de sociétés de navigation ont enrichi les collections. À la fin des années 1970 et au début des années 1980, le musée a sauvé des biens lors de liquidations judiciaires de compagnies : maquettes d’apparat, archives et autres éléments du patrimoine fluvial. Les dépôts d’États et de musées nationaux ont également renforcé les collections. Le musée a mené des campagnes de collecte régulières et des enquêtes auprès des derniers constructeurs de bateaux en bois, rassemblant outillage, gabarits et matériel spécialisé. Une politique de sauvetage et de restauration d’unités à flot a été conduite en lien avec la profession, et des visites de chantiers de démantèlement ont permis de compléter les collections par des éléments de bord. Le musée a réalisé des « reconstitutions scientifiques », maquettes faites d’après ses plans, au nombre de vingt-cinq, afin de restituer des batelleries sans plans anciens. Depuis 1994, la politique d’enrichissement a été réorientée vers les œuvres, objets d’art et l’histoire et la technique de la voie d’eau, ce qui a conduit à suspendre provisoirement les reconstitutions scientifiques. En 1995, un groupe de travail associant mariniers et personnel du musée a été mis en place pour intensifier la collecte avec le soutien financier de l’Association des Amis du Musée.

Liens externes

Conditions de visite

  • Téléphone : 01 34 90 39 50