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Propriété de la commune
Frise chronologique
Renaissance
Temps modernes
Révolution/Empire
XIXe siècle
Époque contemporaine
1500
1600
1700
1800
1900
2000
Milieu du XVe siècle
Construction de l'enceinte
Construction de l'enceinte Milieu du XVe siècle (≈ 1550)
Édification de l'enceinte urbaine et de la porte du Pont Perrin.
Fin du XVe siècle
Construction de la porte
Construction de la porte Fin du XVe siècle (≈ 1595)
Édification de la porte du Pont Perrin et de la porte de l'Horloge.
Début du XVIIe siècle
Trois portes d'accès
Trois portes d'accès Début du XVIIe siècle (≈ 1704)
La ville comptait trois portes permettant l'accès.
Avant 1755
Entrée principale
Entrée principale Avant 1755 (≈ 1755)
La porte du Pont Perrin était l'entrée principale de Déols.
1796-1830
Transformations majeures
Transformations majeures 1796-1830 (≈ 1813)
Des constructions furent adossées aux façades latérales et une salle fut aménagée sous la voûte du passage.
Fin du XVIIIe siècle
Maison de ville
Maison de ville Fin du XVIIIe siècle (≈ 1895)
La porte servait de maison de ville et accueillait les audiences de la justice.
Aujourd'hui
Aujourd'hui
Aujourd'hui Aujourd'hui (≈ 2025)
Position de référence.
Patrimoine classé
La porte dite " du pont Perrin " en totalité, et la partie de l'enceinte urbaine comprise dans la maison qui lui est adossée, au sud (cad. BE 218 (2, rue du Pont-Perrin), 219 (rue du Pont-Perrin)) : inscription par arrêté du 20 septembre 2011
Origine et histoire de la Porte du pont Perrin
L'existence de l'enceinte urbaine de Déols est attestée au milieu du XVe siècle. Dans la seconde moitié du XVe siècle furent édifiées, entre autres, deux des portes encore conservées aujourd'hui : la porte de l'Horloge et la porte du Pont Perrin. Au début du XVIIe siècle, la ville comptait trois portes permettant l'accès : au nord la porte de l'Horloge, au sud-est la porte du Pré Grand et au sud la porte du Pont Perrin. Avant 1755, l'entrée de Déols, venant de Châteauroux, se faisait en franchissant l'Indre sur le pont Perrin ; la route aboutissait ensuite à la porte du même nom, qui ouvrait sur l'artère principale de la ville. La construction de la route royale de Paris à Toulouse entraîna l'abandon du pont. À la fin du XVIIIe siècle, la porte servait de maison de ville et accueillait les audiences de la justice de Déols. Entre 1796 et 1830, des constructions furent adossées aux façades latérales et une salle fut aménagée sous la voûte du passage. Malgré ces transformations, la porte du Pont Perrin demeure un témoin remarquable des fortifications médiévales de la ville.