Clairière de l'Armistice à Compiègne dans l'Oise

Patrimoine classé Vestiges de la Guerre 14-18

Clairière de l'Armistice à Compiègne

  • Clairière de l'Armistice
  • 60200 Compiègne

Origine et histoire de la Clairière de l'Armistice

Son nom secondaire de « clairière de Rethondes » vient de sa proximité avec l'ancienne gare de Rethondes qui était située sur la commune de Compiègne et non sur la commune voisine de Rethondes, dont elle était séparée par la rivière Aisne.

Alors que suite aux offensives alliées de l'été 1918, le Grand État-Major allié s'attend à une demande d'ouverture de négociations d'armistice de la part des Allemands, le maréchal Foch, commandant en chef du front de l'Ouest, demande à la DTMA, la direction du transport militaire aux armées, installée auprès du Grand Quartier général allié de Senlis de trouver un site pour abriter cette négociation d'armistice. Il doit pouvoir accueillir le train de Foch et un autre train pour la délégation allemande. Selon le général Weygand, Foch recherchait « une solitude du lieu qui devait assurer le calme, le silence, l'isolement, le respect de l'adversaire vaincu pendant le temps des négociations »...

Source Wikipédia que vous pouvez consulter ci-dessous.

Devenir actuel

Le site est aménagé en 1922 par l'architecte Marcel Mages en collaboration avec l'écrivain et ancien combattant Binet-Valmer, président de la Ligue des chefs de section, pour devenir le symbole de la Victoire et de la paix.

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