Couvent des religieux de Saint-Antoine-du-Salin à Toulouse en Haute-Garonne

Patrimoine classé Patrimoine religieux Couvent

Couvent des religieux de Saint-Antoine-du-Salin

  • 20 Rue Pharaon
  • 31000 Toulouse
Couvent des religieux de Saint-Antoine-du-Salin
Couvent des religieux de Saint-Antoine-du-Salin
Couvent des religieux de Saint-Antoine-du-Salin
Couvent des religieux de Saint-Antoine-du-Salin
Couvent des religieux de Saint-Antoine-du-Salin
Couvent des religieux de Saint-Antoine-du-Salin
Crédit photo : Didier Descouens - Sous licence Creative Commons
Propriété de la commune

Frise chronologique

Moyen Âge central
Bas Moyen Âge
Renaissance
Temps modernes
Révolution/Empire
XIXe siècle
Époque contemporaine
1200
1300
1400
1500
1600
1700
1800
1900
2000
XIIe siècle
Fondation initiale
XIVe siècle
Déplacement intra-muros
1580
Cession aux Cordeliers
3e quart XVIIe siècle
Reconstruction du monastère
1807
Acquisition par Notre-Dame
1822
Acquisition par les Pénitents Bleus
Aujourd'hui
Aujourd'hui

Patrimoine classé

Eglise (actuellement église paroissiale espagnole) ; façades et toitures sur rue et sur cour des bâtiments conventuels y compris le cloître (cad. AB 273, 434) : inscription par arrêté du 24 février 1976

Personnages clés

Rivalz Architecte ayant conçu les plans de l'édifice selon les ordonnances classiques italiennes.
Joseph Roques Artiste responsable de la décoration de l'abside.

Origine et histoire du Couvent des religieux

Les religieux de Saint-Antoine, établis au XIIe siècle hors les murs, près du château narbonnais, s'installèrent rue Pharaon au XIVe siècle pour s'abriter des Anglais à l'intérieur de la ville. En 1580, ils cédèrent le site aux Cordeliers de l'Isle-Jourdain, chassés de leur ville, qui agrandirent et reconstruisirent le monastère après 1656. Désaffectée à la Révolution, l'église fut acquise en 1807 par les religieuses de Notre-Dame puis, en 1822, par la confrérie des Pénitents Bleus. L'édifice a été réalisé d'après les plans de Rivalz, selon les ordonnances classiques italiennes du XVIIe siècle. La décoration de l'abside est l'œuvre de Joseph Roques.

Liens externes