Première mention historique XIIIe siècle (≈ 1350)
Le lieu est mentionné comme appartenant à Hugues de Palays.
XVIIIe siècle
Transformations majeures
Transformations majeures XVIIIe siècle (≈ 1850)
Transformations de la demeure et construction de l'orangerie par Monsieur de Saint-Aigne.
4e quart XVIIIe siècle
Ajout des frontispices
Ajout des frontispices 4e quart XVIIIe siècle (≈ 1887)
Œuvres de François Lucas ajoutées à l'orangerie.
Aujourd'hui
Aujourd'hui
Aujourd'hui Aujourd'hui (≈ 2025)
Position de référence.
Patrimoine classé
Façade de l'orangerie (à l'exclusion du bandeau supérieur avec ses groupes sculptés) ainsi que l'intérieur de sa chapelle avec son mobilier Virebent (cad. AL 11) : inscription par arrêté du 1er juin 1987
Personnages clés
Hugues de Palays
Capitoul propriétaire du lieu au XIIIe siècle.
Monsieur de Saint-Aigne
Mousquetaire du Roi et propriétaire au XVIIIe siècle, initiateur des transformations.
François Lucas
Sculpteur des frontispices en terre cuite de l'orangerie.
Origine et histoire
Au XIIIe siècle, le lieu est mentionné comme appartenant à Hugues de Palays, capitoul. Au XVIIIe siècle, Monsieur de Saint-Aigne, mousquetaire du Roi, en devient propriétaire et est probablement à l'origine des transformations de la demeure principale ainsi que de la construction de l'orangerie. L'orangerie, long et étroit, ne comporte qu'un rez-de-chaussée divisé en onze travées, chacune percée d'une porte-fenêtre. Trois frontispices en terre cuite, œuvre du sculpteur François Lucas, ornaient trois de ces travées ; ces pièces sont aujourd'hui déposées au musée des Augustins et ont été remplacées sur place par des moulages. Dans la travée située à l'extrémité orientale se trouve une petite chapelle qui abrite un autel de Virebent.