Ruines du château de Montalifant à Corseul en Côtes-d'Armor

Patrimoine classé Patrimoine défensif Demeure seigneuriale Château

Ruines du château de Montalifant

  • D68
  • 22130 Corseul
Ruines du château de Montalifant
Ruines du château de Montalifant
Ruines du château de Montalifant
Ruines du château de Montalifant
Ruines du château de Montalifant
Ruines du château de Montalifant
Ruines du château de Montalifant
Ruines du château de Montalifant
Ruines du château de Montalifant
Ruines du château de Montalifant
Ruines du château de Montalifant
Ruines du château de Montalifant
Ruines du château de Montalifant
Ruines du château de Montalifant
Ruines du château de Montalifant
Ruines du château de Montalifant
Ruines du château de Montalifant
Ruines du château de Montalifant
Crédit photo : Emeltet - Sous licence Creative Commons
Propriété privée

Frise chronologique

Moyen Âge central
Bas Moyen Âge
Renaissance
Temps modernes
Révolution/Empire
XIXe siècle
Époque contemporaine
1200
1300
1400
1500
1600
1700
1800
1900
2000
XIIe siècle
Construction du château
XVe siècle
Abandon probable
XVIIe siècle
Transformation agricole
Fin XVIIIe - début XIXe siècle
Réemploi des pierres
Aujourd'hui
Aujourd'hui

Patrimoine classé

Château de Montalifant (restes) : inscription par arrêté du 27 février 1926

Personnages clés

Françoise de Dinan Propriétaire du château au XVe siècle et préceptrice d'Anne de Bretagne.

Origine et histoire du Château de Montalifant

L'intérêt stratégique et la topographie du site de Montafilant, occupé probablement depuis très longtemps, ont conduit au XIIe siècle à l'implantation d'un château fort par une branche cadette de la famille de Dinan. Peu documenté, ce château appartient au XVe siècle à Françoise de Dinan, préceptrice d'Anne de Bretagne ; il est probablement déjà abandonné à cette époque. À partir du XVIIe siècle, le site se transforme en exploitation agricole : une ferme et ses dépendances occupent l'intérieur de l'enceinte. Les bâtiments encore visibles à l'intérieur, datés de la fin du XVIIIe ou du début du XIXe siècle, montrent des pierres remployées dans les encadrements des baies. L'enceinte comprenait autrefois une chapelle dédiée à sainte Agathe, encore figurée sur la parcelle 466 du cadastre ancien.

Liens externes